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LAMBREQUIN, or Lamequin. The mantle or hood, intervening between the helmet and Crest, always represented flotant. P. 2, f. 24 ; P. 8, f. 21 ; P. 13, f. 21 ; P. 16, f. 21. If charged with the Arms it is termed a Lambrequin Armoyées. (ELVN) | LAMBREQUIN, or Lamequin. The mantle or hood, intervening between the helmet and Crest, always represented flotant. P. 2, f. 24 ; P. 8, f. 21 ; P. 13, f. 21 ; P. 16, f. 21. If charged with the Arms it is termed a Lambrequin Armoyées. (ELVN) | ||
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+ | Lambrequin L’origine des lambrequins est dans les coiffes ou capelines découpées en lambeaux, que l’on portait sur les heaumes de joute et de tournoi, dès la fin du XIIIe siècle, et qui dérivent des voiles plus anciens que l’on avait fixé sur les divers casques, surtout à l'époque des croisades. 1772 Les lambrequins sent des volets d'étoffes découpés, qui descendant du casque, côstent et embrassent l'écu pour lui servir d’ornement. Quelques-uns disent lamoquin, d’autres lambequin, et il y en a qui croient que le mot de lambrequin est venu de ce qu’ils pendoient en lambeaux; et étoient tout hachés des coups qu’ils avoient reçus dans les batailles. Ceux qui sont formés de feuillages entremêlés les uns dans les autres, sont tenus plus nobles que ceux qui ne sont composés que de plumes naturelles. Le fond et le gros du corps des lambrequins doivent être de l'émail du fond et du champ de l'écu; mais c’est de ses autres émaux qu’on doit faire leurs bords. Les lambrequins étoient l’ancienne couverture des casques, comme la cotte d’armes étoit celle du reste de l’armure. Cette espece de couverture préservoit les casques de la pluie et de la poudre, et c'étoit par-là que les chevaliers étoient reconnus dans la mêlée. On les faisoit d'étoffe, et ils servoient à soutenir et à lier les cimiers qu’on faisoit de plumes. Comme ils ressembloient en quelque façon à des feuilles d’acanthe, quelques uns les ont appellés feuillards; on les a mis quelquefois sur le casque en forme de bonnet, élevé comme celui du doge de Venise, et leur origine vient des anciens chaperons qui servoient de coiffure aux hommes et aux femmes. 1780 Sont des pièces d'étoffe découpées en forme de feuillages, qui entourent le casque, et descendent aux deux côtés de l'écusson. 1798 Ornemens qui pendent du casque autour de l'écu. 1843 Feuillage découpé qui accompagne le casque et sert d’ornement extérieur à l'écu. 1864 Pièce d'étoffe découpée qui sert à couvrir le heaume et embrasse l'écu pour lui servir d’ornement. On le peint aux couleurs des armoiries. 1872 Bandelettes tailladées, flottantes autour des casques et des écus. 1887 (Probablement le mot flamand signifiant bandelette). Pièces d'étoffe découpées qui ornent le casque à dextre et à senestre. A diverses époques les lambrequins avaient des formes différentes. En peinture on donne généralement la couleur principale de l'écu à leur côté extérieur; le côté intérieur est revêtu du principal métal qui se trouve dans les armes. Ceci est purement une affaire de goût, et on trouve beaucoup d’exemple où l’ordre contraire est observé. Autrefois il était d’un usage fréquent de parsemer les lambrequins de figures semblables à celles qui se trouvaient dans l'écu, lorsque c'étaient des figures héraldiques subordonnées, telles que billettes, besants, annelets, fleurs-de-lis etc. Cependant on employait aussi des figures d’animaux, tels que lions, etc. 1899 Ornement extérieur de l'écu. C’est un gracieux accompagnement du heaume, il est d’usage de le figurer en feuilles d’acanthe, émaillées aux couleurs de l'écu aux côtés duquel il tombe en forme d’enroulements; cet ornement est quelquefois appelé rinceau ou hachement. 1901 Ornement découpé et attaché au casque. Ils représentent des morceaux d'étoffe découpés en fleurons et doivent avoir les mêmes émaux que les pièces du blason. Quelques hérauts ont nommé les lambrequins volets, parce qu’ils voltigeaient, au gré du vent, pendant les combats. 1905 L’origine des lambrequins est dans les coiffes ou capelines découpées en lambeaux, que l’on portait sur les heaumes de joute et de tournoi, dès la fin du XIIIe siècle, et qui dérivent des voiles plus anciens que l’on avait fixé sur les divers casques, surtout à l'époque des croisades. | ||
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Текущая версия на 12:25, 30 августа 2021
LAMBREQUIN. A term anciently applied to the points which hang from the straight lines of the label. (ELVN)
LAMBREQUIN, or Lamequin. The mantle or hood, intervening between the helmet and Crest, always represented flotant. P. 2, f. 24 ; P. 8, f. 21 ; P. 13, f. 21 ; P. 16, f. 21. If charged with the Arms it is termed a Lambrequin Armoyées. (ELVN)
Lambrequin
- « – намёт
the Mantle placed upon a helmet: also the point of a Label. The word is sometimes applied to. Накидка, располагающаяся на шлеме. Также конец титла. см. Label Термин иногда используется применительно к бурлету (wreath).
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Lambrequin L’origine des lambrequins est dans les coiffes ou capelines découpées en lambeaux, que l’on portait sur les heaumes de joute et de tournoi, dès la fin du XIIIe siècle, et qui dérivent des voiles plus anciens que l’on avait fixé sur les divers casques, surtout à l'époque des croisades. 1772 Les lambrequins sent des volets d'étoffes découpés, qui descendant du casque, côstent et embrassent l'écu pour lui servir d’ornement. Quelques-uns disent lamoquin, d’autres lambequin, et il y en a qui croient que le mot de lambrequin est venu de ce qu’ils pendoient en lambeaux; et étoient tout hachés des coups qu’ils avoient reçus dans les batailles. Ceux qui sont formés de feuillages entremêlés les uns dans les autres, sont tenus plus nobles que ceux qui ne sont composés que de plumes naturelles. Le fond et le gros du corps des lambrequins doivent être de l'émail du fond et du champ de l'écu; mais c’est de ses autres émaux qu’on doit faire leurs bords. Les lambrequins étoient l’ancienne couverture des casques, comme la cotte d’armes étoit celle du reste de l’armure. Cette espece de couverture préservoit les casques de la pluie et de la poudre, et c'étoit par-là que les chevaliers étoient reconnus dans la mêlée. On les faisoit d'étoffe, et ils servoient à soutenir et à lier les cimiers qu’on faisoit de plumes. Comme ils ressembloient en quelque façon à des feuilles d’acanthe, quelques uns les ont appellés feuillards; on les a mis quelquefois sur le casque en forme de bonnet, élevé comme celui du doge de Venise, et leur origine vient des anciens chaperons qui servoient de coiffure aux hommes et aux femmes. 1780 Sont des pièces d'étoffe découpées en forme de feuillages, qui entourent le casque, et descendent aux deux côtés de l'écusson. 1798 Ornemens qui pendent du casque autour de l'écu. 1843 Feuillage découpé qui accompagne le casque et sert d’ornement extérieur à l'écu. 1864 Pièce d'étoffe découpée qui sert à couvrir le heaume et embrasse l'écu pour lui servir d’ornement. On le peint aux couleurs des armoiries. 1872 Bandelettes tailladées, flottantes autour des casques et des écus. 1887 (Probablement le mot flamand signifiant bandelette). Pièces d'étoffe découpées qui ornent le casque à dextre et à senestre. A diverses époques les lambrequins avaient des formes différentes. En peinture on donne généralement la couleur principale de l'écu à leur côté extérieur; le côté intérieur est revêtu du principal métal qui se trouve dans les armes. Ceci est purement une affaire de goût, et on trouve beaucoup d’exemple où l’ordre contraire est observé. Autrefois il était d’un usage fréquent de parsemer les lambrequins de figures semblables à celles qui se trouvaient dans l'écu, lorsque c'étaient des figures héraldiques subordonnées, telles que billettes, besants, annelets, fleurs-de-lis etc. Cependant on employait aussi des figures d’animaux, tels que lions, etc. 1899 Ornement extérieur de l'écu. C’est un gracieux accompagnement du heaume, il est d’usage de le figurer en feuilles d’acanthe, émaillées aux couleurs de l'écu aux côtés duquel il tombe en forme d’enroulements; cet ornement est quelquefois appelé rinceau ou hachement. 1901 Ornement découpé et attaché au casque. Ils représentent des morceaux d'étoffe découpés en fleurons et doivent avoir les mêmes émaux que les pièces du blason. Quelques hérauts ont nommé les lambrequins volets, parce qu’ils voltigeaient, au gré du vent, pendant les combats. 1905 L’origine des lambrequins est dans les coiffes ou capelines découpées en lambeaux, que l’on portait sur les heaumes de joute et de tournoi, dès la fin du XIIIe siècle, et qui dérivent des voiles plus anciens que l’on avait fixé sur les divers casques, surtout à l'époque des croisades.
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