- tenant

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TENANT, holding. A term to express that the shield is held by one man or beast. Supporters, when there are two. (ELVN)


фр. — tenant, tenants — щитодержатель; щитоносцы; щито(о)хранители

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Tenant:

  • 1901 г. — «Qualifie un dextrochère, un ange, un lion, etc., qui semble tenir quelque chose».

Tenants: Held; holding. «Держащий, щитодержатель обычно в руке или в лапе животного (us. in a person’s hand, or in the paw of an animal)».

  • 1772 г. — «Ce mot se dit de ce qui soutient les écus ou les armoiries, et est le plus souvent synonyme avec support. La différence que quelques-uns y mettent, c’est de dire que les tenans sont seuls, et que les supports sont doubles, et mis des deux côtés de l'écu; ou bien les supports sont des figures d’animaux, et les tenans des figures humaines. Il y en a de plusieurs figures, de même que les supports, comme les anges, les pucelles, les religieux, les sauvages, les mores, les lions, les léopards, licornes, aigles, griffons, etc. Les armes de Naples, par exemple, sont d’azur semé de fleurs-de-lis d’or au lambel de gueule en chef, et il a pour tenans deux syrenes ou femmes marines au naturel. Les premiers tenans ont été des troncs ou des branches d’arbres, auxquels les écussons étoient attachés avec des courroies et des boucles. Depuis on a représenté les chevaliers tenans eux-mêmes leur écu attaché à leur cou, ou sur lequel ils s’appuyoient, comme on voit Philippe de Valois sur les deniers d’or battus en 1336. L’origine de ces tenans vient de ce que dans les anciens tournois les chevaliers faisoient porter leur écu par des valets déguisés en ours, lions, monstres, etc. par des mores, des sauvages ou des dieux fabuleux de l’antiquité, lesquels tenoient aussi, et gardoient les écus que les chevaliers étoient obligés d’employer pendant quelque-tems, pour ouvrir les pas d’armes, afin que ceux qui les vouloient combattre les allassent toucher. Il y a eu aussi des tenans qui ont été tirés des corps des devises et des animaux du blason, comme le porc-épic de Louis XII. la salamandre de François I. etc.».
  • 1780 г. — «Se dit des figures humaines ou d’anges, qui soutiennent de chaque côté un écusson : ainsi les armes de France ont pour tenants deux anges».
  • 1798 г. — «On appelle Tenans, les supports qui ont des mains, comme les Anges, les Sirènes, etc. 1843 Homme servant de support à l'écu».
  • 1864 г. — «Support de l'écu».
  • 1872 г. — «Figures humaines dont les mains s’appuient sur l'écu et semblent le tenir».
  • 1885 Se dit des hommes qui sont placés aux côtés de l'écu pour le garder et le soutenir. 1887 Figures humaines qui tiennent l'écu des armes. Lorsque l'écu est tenu par une figure humaine et un animal, on les nomme ensemble tenants".
  • 1899 г. — «En armoiries, le tenant est représenté par une figure humaine armée, parée, habillée ou nue, ayant une main appuyée sur l'écu ou paraissant le tenir; il peut être au naturel ou émaillé aux couleurs héraldiques; il peut porter un fanion, une arme ou toute autre pièce».
  • 1901 г. — «Figures humaines qui tiennent l'écu des armes. C’est le contraire des Supports. Ce sont des hommes sauvages, des pucelles, des anges, des tritons, des sirènes, des néréides, des chevaliers, des sphinx, des centaures, etc., qui placés aux deux flancs de l'écu les tiennent soit de leurs mains, soit de leurs pattes».
  • 1905 г. — «Figures d’hommes, d’animaux, d’objets inanimés ou d'êtres chimériques quelconques, placées aux flancs de l'écu et qui semblent le soutenir. En règle on appelle Tenants les figures humaines ou celles d'êtres chimériques à face humaine, réservant le nom de Supports aux figures d’animaux ou d’animaux chimériques, et celui de soutiens aux végétaux et objets inanimés».